Auteur:
Lwella. C'est moi!
Base: Gundam
Wing
Genre:On
pourrait appeler ça "Amour,soupçons et bêtises"
Couples:Quatre
et Trowa bien entendu et pour les autres, on verra quoi que ça se décoince !
Duo: Ah enfin ! Je vais être avec mon Hee-chan !
Lwella: Je t’arrête tout de suite ! Est ce que je t’ai dit que tu
allais être avec Heero ?
Duo ! T’ES MECHANTE !
L’AMOUR ?
UNE HISTOIRE DE CONFIANCE…
Au visage décomposé de Quatre, Marissa comprit qu’elle venait de faire une gaffe.
- Monsieur, je…
- Depuis combien de temps ne vient-il plus travailler ? l’interrompit Quatre d’une voix glaciale.
- Cela va faire trois semaines mais il passe presque tous les jours pour dispenser les soins majeurs aux animaux…
Quatre en avait assez entendu pour aujourd’hui. Il remercia rapidement Marissa et se détourna d’elle pour sortir au plus vite, laissant la jeune femme désemparée.
Il s’engouffra dans sa voiture mais ne démarra pas tout de suite. Les bras sur le volant, il ressassait ce qu’il venait d’apprendre : Trowa s’était accordé un mois et demi de congé sans même lui en parler, il ne travaillait plus ici depuis trois semaines ; date à laquelle Quatre avait noté quelques changements chez lui. Si ce projet avait été professionnel, Trowa aurait travaillé à la clinique mais ce n’était pas le cas. Trowa lui avait menti… Quatre ne supportait pas les mensonges et encore moins, les mensonges provenant de l’homme qu’il aimait. Lui qui était persuadé que la solidité de son couple était basé sur la confiance, le respect et la franchise… il s’était lourdement trompé.
A cet instant le cœur de Quatre abritait trop de sentiments : incompréhension, colère, rage…
Bien qu’il trembla de tous ses membres, il parvint à attraper son téléphone portable et à composer le numéro de son bureau. A la deuxième sonnerie, Jack décrocha :
- ….
- Monsieur Raberba Winner à l’appareil. Jack, pourrais-tu annuler tous mes rendez-vous de la journée, s’il te plait ?
- …
- Oui. Il est donc préférable que je rentre chez moi.
- ….
- Je te remercie. A demain, enfin peut-être…
Et Quatre raccrocha. Il tremblait encore d’une colère mal contenue mais décida quand même de démarrer. Au fur et à mesure qu’il s’éloignait de la clinique vétérinaire, une profonde détresse l’envahit et petit à petit, les larmes perlèrent au coin de ses yeux turquoises sans que le flux ne se tarisse.
- Oh Trowa… gémit le jeune homme. Où es tu ?
Duo était avachi sur un canapé, face à la télévision qui diffusait un feuilleton débile que le jeune homme regardait seulement pour faire passer le temps. Il s’ennuyait et avait hâte que les autres rentrent.
Soudain la porte d’entrée claqua violemment, le faisant sursauter. Il regarda l’horloge du DVD qui indiquait d’une lumière bleue : 14h26.
- Hein ! 14h26 ! sursauta Duo. Mais personne ne rentre aussi tôt d’habitude !
Sentant qu’il y avait un problème, le jeune homme se leva doucement du canapé et s’avança lentement vers le hall d’entrée, s’apprêtant à surprendre un quelconque intrus. Il jeta un rapide coup d’œil dans le hall : OK ! Ennemi repéré : debout mais de dos, appuyé contre la porte, cheveux blonds, taille fine, bien sapé…
- « Tiens, il a la même veste que Quatre… »
Les fils reliant les neurones de son cerveau se connectèrent.
- « Minute papillon… Mais c’est Quatre ! »
Au moment où il réagissait, Quatre se retourna et le regarda. Il avait le visage pâle, les yeux rouges et la mine défaite.
- Quatre ?! s’écria Duo. Qu’est ce qu’il y a ? T’es malade ? Faut appeler le médecin ?
- Ce n’est rien Duo, je ne me sentais pas très bien ; j’ai donc quitté le boulot plus tôt. Je vais allez me coucher et ça ira mieux demain…
- Euh mais Quatre…
Mais déjà, le jeune homme avait gravi les escaliers laissant en plan, un Duo, franchement inquiet.
Deux heures plus tard, Wufei rentrait, suivi de près par Heero. Duo, expliqua le plus calmement et précisément possible, l’état de Quatre à ses deux amis. Tous trois, décidèrent d’un commun accord d’attendre le retour de Trowa.
Parvenu à sa chambre, Quatre avait passé plus d’une heure à faire les cent pas dans la pièce à se remémorer sa conversation avec Marissa et essayant de se souvenir d’indices qui pourraient l’éclairer sur l’ étrange comportement de Trowa. Il ne voulait pas tirer de conclusions trop hâtives mais après une heure de réflexion, il finit par se glisser dans son lit, épuisé. Mais il n’arrivait pas à détacher de son esprit la possibilité de Trowa le trompant avec quelqu’un d’autre.
Sourd à toute manifestation extérieure et plongé dans sa douleur, Quatre entendit tout de même la porte d’entrée claquer une troisième fois : Trowa venait de rentrer. Il était 18h43.
Il l’entendit saluer les autres habitants de la maison puis à cela, suivit une conversation qui avait l’air très sérieuse car il n’entendait pas les exclamations enjouées de Duo. Quatre n’eut pas besoin de recourir à son empathie pour deviner que la conversation était axée sur son étrange comportement.
Puis, il perçut un bruit de pas léger gravir les escaliers et s’arrêter juste devant sa porte. Une hésitation puis trois coups frappés.
- Quatre ? C’est moi…
L’interpellé ne répondit rien. Il ne voulait pas affronter Trowa, pas ce soir. Autant faire semblant de dormir.
La porte s’ouvrit lentement et Trowa avança dans la chambre, seulement éclairée par les tous derniers rayons du soleil. Sur le lit, face au mur, il découvrit une forme distincte recouverte de doux cheveux blonds.
En entendant Trowa approcher et s’arrêter à côté du lit, Quatre ferma les yeux. Le matelas s’affaissa légèrement, preuve que son amant venait de s’asseoir à ses côtés. Il resta de longues minutes immobile, lui caressant simplement les cheveux. Quatre ressentait toute l’inquiétude du jeune homme et se fit violence pour ne pas se relever et se blottir dans ses bras. Doucement, Trowa se pencha sur lui et déposa un doux baiser sur sa tempe.
- Bonne nuit mon ange ; murmura t-il. Que l’aube de demain efface ton chagrin…
Et sur ces paroles, il quitta la chambre en prenant soin de refermer la porte derrière lui. A cet instant, Quatre laissa libre cours à ses larmes. Il finit par s’endormir, les joues striées de rivières argentées et ayant enfin pris une décision.
Quand Trowa redescendit de l’étage et rejoignit ses amis au salon, trois têtes se levèrent simultanément.
- Alors ? s’enquit Duo à la limite de faire une crise de nerfs.
- Il est couché… répondit Trowa.
- Il dort ? demanda Wufei.
- Non… Mais il ne m’a pas parlé…
Heero vit tant de douleur dans les yeux de son meilleur ami que cela lui fit mal. C’était la première fois que Quatre se comportait ainsi et cela n’était pas sans laisser quelques conséquences sur le moral de tous et surtout sur Trowa qui ne savait que faire pour soulager son petit ami.
Durant un long moment, tous les quatre restèrent au salon sans rien dire, chacun plongé dans ses pensées. Tout à coup, Wufei interrompit ce silence pesant.
- Ca ne sert à rien de se morfondre. Nous ne pouvons pas aider Quatre s’il ne veut pas de notre aide… Alors moi je vous propose de manger, ça nous remettra d’aplomb.
- Je croyais que c’était Duo, le ventre à pattes ; fit remarquer Heero, détendant ainsi l’atmosphère.
Trowa esquissa un sourire et Duo explosa de rire.
Malheureusement le repas ne fut pas très animé. Une fois que chacun raconta comment s’était passée sa journée, et que Wufei eut rapporter quelques anecdotes liés à ses élèves, le silence se fit à table.
A la fin du repas, Heero et Trowa furent de corvée de vaisselle tandis que Duo et Wufei s’installaient dans le salon. Quand il les rejoignirent, c’était l’heure des informations et tous les quatre, écoutèrent plus ou moins attentivement les nouvelles.
La présentatrice de la météo décrivait un anticyclone sur la carte lorsque Duo qui feuilletait le programme télé le reposa sur la table du salon et déclara :
- Y’a rien à c’te télé ! Je monte me coucher. Bonne nuit !
Trois « bonne nuit » lui répondirent alors qu’il se dirigeait vers l’escalier mais le regard de Heero suivit la silhouette longiligne du natté.
Le film de début de soirée avait à peine commencé que Trowa s’éclipsa. Heero tint une demi-heure devant l’écran puis monta dans sa chambre après avoir souhaité une bonne nuit à Wufei. Il se dirigea vers la salle de bain où il se brossa les dents, pensif et où il troqua son costume contre un caleçon noir.
Alors qu’il s’apprêtait à rejoindre son lit, il s’arrêta devant la porte grande ouverte de la chambre de Duo. Il aperçut son ami assis sur le rebord de la fenêtre et semblant perdu dans ses pensées. La clarté de la lune éclairait cette silhouette et lui donnait un éclat surnaturel. Heero savait que son ami était très affecté par l’humeur de Quatre et que cela le rongerait tant que le jeune homme n’irait pas mieux.
L’ex perfect soldier rejoignit sa chambre. Après avoir lu quelques minutes, il éteignit la lumière et à peine avait-il posé sa tête sur l’oreiller qu’il s’endormit.
Alors que la quiétude de la maison n’était brisée que par les ronflements de Wufei, un hurlement retentit. Heero se réveilla en sursaut.
- DUO ! paniqua le jeune homme en reconnaissant le voix de son ami.
A la vitesse de l’éclair, il s’empara de son revolver dont il n’avait pas voulu se séparer à la fin de la guerre et ouvrit sa porte à la volée. Il arriva en même temps que Trowa devant la chambre de Duo. Du coin de l’œil, il vit arriver Quatre et Wufei dont les chambres étaient au fond du couloir. Après un coup d’œil entendu à Trowa, il ouvrit brutalement la porte et avant qu’il ne comprenne quoi que ce soit, il ne put qu’apercevoir Duo courir vers lui en pyjama, des larmes ruisselant le long de ses joues, avant que le jeune homme ne se réfugie dans ses bras.
- Heero ! gémit Duo. Oooh Heero...
Trowa, lui n’avait pas perdu ses facultés et fit rapidement le tour de la pièce. Après s’être assuré qu’il n’y avait rien de suspect, il se retourna vers leur ancien leader et d’un seul regard lui fit comprendre que tout était en ordre. Heero le remercia d’un signe de tête. Les visages de Quatre et Wufei apparurent dans l’encadrement de la porte, fixant, très inquiets, Duo dans les bras de Heero.
- Heero… hésita Quatre.
- Retournez-vous coucher ; répondit Heero. Je m’occupe de lui.
- Tu es sûr ? s’enquit Wufei.
- Oui…
- Si il y a un problème, tu nous appelles ; déclara Trowa avant de refermer la porte laissant la pièce se remplir des sanglots de Duo.
Heero entendit ses trois amis regagner leur chambre et ressentit une certaine déception quand il comprit que Quatre n’avait pas rejoint Trowa dans sa chambre. Mais un sanglot de plus, lui fit baisser la tête vers Duo. Le jeune homme était toujours accroché à lui, son visage enfoui contre son torse. Lentement, Heero se dirigea vers le lit aux draps défaits, preuve que son propriétaire s’était débattu, et s’assit avec lui, à ses côtés. Doucement, il lui caressa le dos afin de l’apaiser.
- Chhht… C’est fini… Chhht…
Petit à petit, les sanglots de Duo s’atténuèrent pour ne finir que par être de légers reniflements. Patiemment, Heero attendit que son ami veuille parler.
- C’était si réel… Si réel… furent ses premiers mots.
Heero voulait comprendre ce qui avait mit l’impitoyable Shinigami dans cet état. Il savait le jeune homme, sujet à de nombreux cauchemars mais jamais, cela n’avait été aussi violent.
- Qu’est ce qui était si réel ? dit-il doucement, poussant Duo à se confier.
- Leurs gestes, leurs paroles violentes…
Soudain, Duo releva ses yeux améthystes encore brillants de larmes et regarda Heero.
- J’ai rêvé que… que Quatre et Trowa se séparaient… C’était si réel… Ils ne s’entendaient plus, se mentaient et se déchiraient… Ils se haïssaient… Petit à petit, l’ambiance est devenue invivable et petit à petit vous êtes tous partis… Quatre d’abord, puis Trowa et Wufei et enfin toi… Je me retrouvais seul… Tout seul… Comme avant… Je vous avais perdu… Je t’avais perdu…
Après cette confession, Heero resserra sa prise sur le corps à côté du sien, réalisant à quel point le différend entre Quatre et Trowa, s’en ressentait sur le boute en train de service. Doucement, il prit la parole.
- Nous sommes là… Je suis là… Quatre et Trowa sont ensembles et vont le rester… C’était un cauchemar… Juste un cauchemar…
En disant cela, il avait forcé le natté à s’allonger, le maintenant toujours dans ses bras. Et il continua encore et encore, à murmurer des mots apaisants, à rassurer son ami qui semblait à cet instant, si vulnérable. Et petit à petit, Duo se calma et finit par s’endormir. Heero resta un moment à le contempler et voyant ce visage redevenu serein, il décida de regagner sa chambre. Mais alors qu’il allait se lever, Duo se blottit un peu plus contre lui.
- Heero… murmura t-il dans son sommeil. Reste…
L’interpellé se figea et resta immobile un long moment puis lentement, il s’allongea de nouveau au côté de Duo et l’angoisse qu’il avait ressenti en découvrant l’état de son ami, s’apaisa petit à petit. Et lui aussi, finit par sombrer dans le sommeil.
Ce fut la musique de son radio-réveil, réglé à 7h00, qui fit émerger Duo de son sommeil. Les yeux fermés, il tendit le bras pour éteindre le son discordant. Quelle ne fut sa surprise, qu’au lieu de toucher la surface lisse du radio-réveil, sa main entra en contact avec une matière douce et chaude. Pour le coup, il ouvrit les yeux et sursauta en tombant nez à nez avec Heero qui le regardait. Le souvenir de la nuit précédente revint à la mémoire de Duo : son cauchemar, son hurlement, Trowa et Heero déboulant dans la chambre, le torse de Heero, sa voix calme et rassurante, Heero l’écoutant calmement, Heero le consolant et Heero se couchant à ses côtés.
- Bonjour ; murmura son ami.
- Bonjour ; sourit Duo en retour.
- Ca fait du bien de revoir de nouveau ce sourire ; constata simplement Heero.
En récompense, Duo lui sourit de nouveau et grimaça en entendant son réveil qui se remettait en marche, faisant clairement comprendre aux paresseux que l’heure était venu de se lever.
- Pfffff ! souffla Duo en s’étirant. Va falloir allez bosser.
- Je te laisse t’habiller ; dit Heero en se levant.
Il allait sortir de la pièce quand la voix de Duo le retint.
-
Heero.
-
Hnn ?
- Merci… Merci pour cette nuit…
- Je t’en prie…
Et le beau brun sortit de la pièce. Duo resta un moment immobile puis se leva, prêt à affronter la journée qui allait suivre.
Au contraire de ses deux amis, réveillés par le réveil, Quatre, lui, avait ouvert les yeux à l’aurore. Pendant deux heures, il tourna et retourna dans sa chambre, ressassant dans sa tête la décision qu’il avait prise la veille. Il se doutait bien que cela ne serait pas sans laisser des conséquences sur son couple mais il voulait la vérité. Il voulait savoir ce que Trowa lui cachait.
Quand il entendit justement ce dernier se lever, dans la chambre à côté, Quatre s’habilla d’un pantalon beige et d’une chemise bleue et alors que le jeune homme à la mèche descendait déjeuner, il fila à la salle de bain pour se débarbouiller un peu. Il tenta de redonner à son visage, un aspect habituel et se coiffa soigneusement : il n’avait pas pour habitude de paraître négligé. Il retourna dans sa chambre et attendit patiemment. Soudain, la porte d’entrée claqua : Trowa venait de partir. Alors vite, Quatre traversa le couloir, croisant Wufei, sa brosse à dent à la main qui regarda ébahi, le blond passer devant lui à la vitesse de l’éclair. Il dévala les escaliers et quand il arriva à la cuisine, il eut le temps d’attraper deux pommes et de saluer Heero. Une fois dans le garage, il aperçut la jeep de Trowa sortir de l’allée. Il monta dans son Audi, au côté de laquelle se trouvait Duo et sa Kawasaki noire. Son ami le regarda éberlué.
- Bonjour Duo ; dit Quatre en lui souriant.
- Quatre… Euh, ça va ?
- Très bien !
Et sur ce, le jeune homme démarra sous le regard étonne de son ami qui ne comprenait décidément plus les sautes d’humeur du jeune blond.
A la sortie de leur allée, Quatre eut vite fait de repérer la jeep de Trowa, arrêtée à un feu rouge. Il suivit donc la voiture. Ils empruntèrent de nombreuses petites rues et peu à peu, ils finirent par longer la mer.
Lorsque Trowa mit son clignotant pour tourner dans une voie sans issue, Quatre ralentit et passa lentement devant la rue où la jeep avait disparue. Trowa descendait de voiture et se dirigeait vers un petit immeuble blanc à un étage. Le jeune chef d’entreprise décida de se garer un peu plus loin. Puis il rejoignit la voiture de Trowa et décida de prendre son mal en patience.
Les minutes s’écoulèrent, puis les heures sans que Trowa ne réapparaisse. Les questions se bousculaient dans la tête de Quatre à un rythme effréné. Vers midi, il mangea les deux pommes qu’ils avaient amené mais cela ne le rassasia pas pour autant. Effectivement, il n’avait pas fait un vrai repas depuis hier matin. Et les minutes continuaient à s’écouler… Quatre en profita pour détailler le quartier : un de ceux qui s’était récemment construit en bordure de mer, bien exposé, ensoleillé, entouré de quelques espaces verts… Il ne comprenait vraiment pas ce que Trowa venait faire ici et surtout pourquoi il ne ressortait pas. Et les minutes continuaient à s’écouler.
Enfin à 14h52, la porte d’entrée vitrée de l’immeuble s’ouvrit laissant apparaître Trowa accompagné d’un autre homme avec qui il discutait gaiement. Quatre fronça les sourcils. De là où il était, il ne pouvait entendre ce que disait les deux hommes. Du regard, il jaugea l’autre homme : grand, le teint mât, brun, jean déchiré et T-shirt blanc… Le jeune chef d’entreprise ne put s’empêcher de penser que cet homme était tout son contraire.
Il vit alors l’homme qui allait s’éloigner mais Trowa le retint et l’enlaça familièrement… A cette vue, le cœur de Quatre se serra… Ainsi donc ses inquiétudes étaient réelles…
L’homme s’éloigna enfin après un dernier sourire et Trowa tourna son regard vers sa voiture. Quand il l’aperçut, Quatre lu dans son regard une immense surprise et une légère inquiétude. Lentement, le jeune homme à la mèche se dirigea vers lui, sans que leur regards ne se quittent et s’arrêta à un mètre de lui.
Le temps des explications étaient venues…
A suivre