Auteur : ChtiteElfie dit Chtite

Mail : ChtiteElfie@aol.com      

Genre : sadique a mort, yaoi, et très sadique ^^0

Muse : bah la je sais franchement pas Oo

Shinny et Kei : c’est elle ! *le piaf montre le chat et le chat montre le piaf du doigt*

Chtite : -_-0

Disclamer : perso pas a moi ^^0 et la ziq est à  Carla Bruni et s’appelle *c’est moi le plus beau du quartier* et j’ai même pas eut à changer les paroles ^^0

Coin de la béta :

Note : je préviens j’ai été sympa avec acun es g-boys sur ce coup la ^^0 y vont tout souffrir ^^0

 

 

Regarder n’est pas toucher

 

 

 

Les pilotes étaient en pleine mission. Ils étaient trois sur ce coup là. Heero, Duo et Quatre. Et ils suivaient le plan à leur manière.

Heero devait détruire la base et les informations d’autres en passant par leur réseau. Il pianotait sur le clavier de l’unité centrale de la base.

Quatre devait poser les bombes pré faites aux piliers de soutiens. Il se dirigeait vers les sous-sols de la base.

Et Duo devait capturer le plus haut gradé de la base, pour dissiper un malentendu et soutirer des informations au passage. Il était dans le bureau de ce haut gradé et l’attendait nonchalamment appuyé sur le bureau.

Quand enfin l’officier arriva, la première réaction de ce dernier fut de déclenche l’alarme. Seulement d’un geste, Duo l’envoûta, l’empêchant de faire un seul geste sans son consentement. Le silence de la pièce était feutré. Ce même silence que l’on trouve dans les chambres ou la passion est au maximum. Il lui fit signe d’approcher. L’officier le fit aussitôt, s’approchant de la créature qui était désormais allongé sur le bureau comme si c’était le sien.

Soudain la porte s’ouvrit pour laisser place à un soldat. Duo l’empêcha lui aussi d’avertir les autres, et lui fit fermer la porte. Ensuite, il descendit félinement de son perchoir et s’approcha lascivement du soldat. Il commença à tourner autour, laissant ses mains l’effleurer doucement. Pour finalement approcher ses lèvres de celles du soldat, et lui planter un couteau dans le dos par la même occasion. Pas une goutte de sang n’arriva sur lui. Et le soldat tomba à terre sans le toucher.

Il retourna vers l’officier, sortir des menottes de sa poche, et laissa le grader se les mettre. Le silence s’arrêta alors. Une bombe avait explosé. Duo sortit une lame aiguisée et la coinça sous la gorge de l’officier.

 

Regardez-moi
Je suis le plus beau du quartier
J'suis l'bien aimé
Dès qu'on me voit
On se sent tout comme envoûté
Comme charmé, hum
Lorsque j'arrive
Les femmes elles me frôlent de leurs
Regards penchés
Bien malgré moi, hé
Je suis le plus beau du quartier, hum, hum, hum

Les pilotes de gundams venaient de finir leur mission. Ils prenaient désormais une semaine de vacance dans leur nouveau lycée, même si officiellement pour leur couverture, avant de rentrer à la base et d’interroger l’officier. Certain diront que lycée est loin d’être des vacances, mais mettez-vous du point de vue de pilotes surentraînés avec une intelligence bien au-dessus de la moyenne. A partir de là, le lycée devient effectivement une partie de plaisir.

D’ailleurs les élèves se souvenaient de l’arrivée des trois pilotes.

A l’arriver du premier, il y avait eut quelques sifflements vite arrêtés par un regard noir qui promet une mort avec beaucoup de souffrance.

Le deuxième avait été accueillie plus chaleureusement, son air amicale et angélique avait fait de lui le confident de la moitié du lycée et le psy de l’autre moitié.

Mais quand le dernier était arriver…Le prof n’avait jamais du entendre pareil silence. Pas un murmure, pas un grattement de crayon sur le papier, pas un raclement de pied, rien. Il aurait aussi bien pu n’y avoir personne dans cette salle de classe. Tous les élèves et le prof avaient les regards rivés sur le nouveau. Il aurait aussi bien pu y avoir une attaque nucléaire à la ville voisine, personne dans la classe si ce  n’est les trois nouveaux ne s’en seraient rendus compte. A mesure que le temps passait, le sourire gêner du responsable de ce silence s’agrandissait. Ce ne fut que quand un livre un équilibre précaire tomba, que la classe se réveilla enfin. Le professeur gêné de sa réaction, demanda rouge de honte aux nouveaux de s’assoirent à une table libre.

Tous les regards, qu’ils soient féminins ou masculins, suivaient les déplacements du troisième nouveau. Ils effleuraient sa silhouette des yeux, la caressaient, la jaugeaient, pour finalement ne décoller le regard que lorsque le professeur repris son cours. Bien que tout ceux se trouvent à côté ou derrière l’envoûteur, le regardèrent sans se gêner durant tout le reste du cours.

Quand la fin du cours sonnant, annonçant par la même occasion le début de la pause, garçon et filles, se précipitèrent vers le charmeur pour lui parler, tenter de le séduire discrètement, le draguer ouvertement, faire des allusions en espérant, sous les regards des coéquipiers de ce dernier.

 

POV de Duo

 

Tous les regards son sur moi. J’en ai pris l’habitude et même si cela me gêne, ça n’est pas comme si j’avais le choix. Mais il m’arrive de me demander pourquoi :


Est-ce mon visage
Ma peau si finement grainée
Mon air suave
Est-ce mon allure
Est-ce la grâce anglo-saxonne
De ma cambrure
Est-ce mon sourire
Ou bien l'élégance distinguée
De mes cachemires
Quoi qu'il en soit
C'est moi le plus beau du quartier, hum, mais


Fin du POV

 

Duo était dans la chambre qu’il partageait avec Heero. Il était allongé sur son lit, sur le coté, et lisait, ses cheveux libres ruisselant dans son dos et sur les draps, une main maintenant sa tête, et l’autre sur le draps qui recouvrait ses hanches. Il s’était déjà changé, et ne portait déjà plus qu’une chemise très large qui dévoilait une épaule blanche et laissait entrapercevoir une torse finement musclé et aussi attirant au toucher que de la porcelaine au grain fin, et un short large ne couvrant qu’une petite partie des ses cuisses. Ses formes galbées se laissaient voir à travers le drap fin qui le recouvrait.

Heero profitait de cette vision. Il ne se gênait absolument pas pour mater son coéquipier. Il avait déjà avoué à ce dernier son attirance. Il se rappelait de la réponse et cette dernière brûlait au fer rouge son esprit.

Une fois, il avait essayé d’entrer dans la douche alors que Duo y était déjà. Ce dernier le lui avait fait regretter amèrement. Une cicatrice presque invisible sur son torse à la hauteur du cœur lui rappelait chaque jour son erreur. Le plus regrettable pour lui étant qu’il n’avait rien vu.

Voir son coéquipier chaque jour, toujours aussi attirant, le rendait presque fou. Il avait l’impression de nager dans une coulée de lave dès que ce dernier ce mettait en tête de jouer avec ses nerfs. Et encore une fois s’était ce qu’il devait faire en ce moment.

Allongé ainsi, dans cette position qui en avait attiré plus d’un des les limbes du pêcher. Il se leva soudain et s’approcha déterminé de la tentation à l’état pur. Ce dernier le regarda en levant un sourcil étonné. Heero souleva le drap et l’envoya valser à l’autre bout de la chambre. Il pu admirer encore davantage l’envoûteur. Ce dernier le laissa faire, ce disant que tant que ça restait là…Il repartit dans sa lecture. Cela aurait pu s’arrêter là, si seulement le Japonais n’en avait pas voulu plus.

Duo sentit une main tremblante effleurer ses hanches. Il attrapa aussitôt la main et la tordit, ses yeux exprimant un mélange de gêne et d’agacement, une lueur de tristesse y scintillant aussi. Quand il vit Heero à genou, tentant de le toucher avec son autre main, il lui tordit davantage celle qu’il avait déjà prise. Puis il se leva, regarda sévèrement Heero qui la main contre son cœur enrageait en lui rendant son regard.

 

- Si tu ne sais pas te retenir, je vais aller dormir prêt de Quatre. Il sait où sont les limites lui au moins.

 

Heero commença à paniquer.

 

- NON ! Je ne le referais plus ! Je t’en pris reste ! Supplia la loque humaine.

- Cela te servira de leçon.

 

Le pêcher vivant embarqua le strict nécessaire et partit, esquivant toutes les tentatives maladroites de Heero pour le retenir. Dans les couloirs, il rencontra quelques lycéens qui le regardèrent comme l’on regarde un prince. La plupart s’écartèrent de son chemin. Duo n’eut donc aucun problème pour atteindre la chambre de l’empathe. Il frappa trois coups à la porte et entra. Le blond était en train de faire ses devoirs pour le lendemain, mais l’accueilli avec un enthousiasme non feint.

 

- Désolé Quat-chou mais je squatte chez toi se soir. Heero ne connaît pas les limites.

- Aucun problème Duo. Je suis toujours là si…

- Quatre !

- Désolé.

- C’est rien. Bon moi je vais dormir. ‘nuit Quat’ !

- Bonne nuit Duo.

 

L’enchanteur s’allongea sur le lit libre, se recouvra du simple drap et s’endormit aussitôt. Il savait très bien que le blond allait l’observer toute la nuit. Qu’il allait passer une nuit blanche pour cela. Il savait aussi que le lendemain Heero viendrait ramper à ses pieds pour se faire pardonner. Il s’endormit donc sans crainte mais triste comme toujours. Il autorisait à Quatre une étreinte parfois, cela lui permettait d’être sur de ne rien craindre à ses coté car ce dernier ferait tout pour ne pas perdre cette faveur.

Il n’était pas spécialement méchant, ni manipulateur, mais il savait se qu’il se passait quand il ne mettait pas de limites, et quand il ne punissait pas quand ces dernière étaient dépassées. La personne devenait confiante, trop confiante, et lui se retrouvait à devoir se séparer de cette personne ce qui parfois occasionnait un suicide, et si le cas était grave, à la tuer directement pour ne pas se faire violer. Or ils avaient besoin de tous les pilotes et devaient donc déposer des limites plus fortes que jamais.

 

Mais prenez garde à ma beauté
A mon exquise ambiguïté
Je suis le roi
Du désirable
Et je suis l'indéshabillable
Observez-moi, hum, hum, hum
Observez-moi de haut en bas
Vous n'en verrez pas deux comme ça
J'suis l'favori
Le bel ami
De toutes ces dames
Et d'leurs maris
Regardez-moi


La semaine de vacance était finit. Ils étaient rentré à la base, et après une semaine de privation, il était maintenant l’heure d’interroger se cher lieutenant. Et c’était à Duo de s’y coller. Ce dernier y alla bien volontiers. Il savait comment les faire avouer.

Il entra dans la cellule dans laquelle on avait fait entré le prisonnier après leur arrivé. Cette dernière était sûrement plus grande que l’autre et plus propre. L’officier se tenait assis contre le mur. La tentation vivante s’approcha, s’agenouilla devant l’homme, fit glisser une main entre le menton et les clavicules, et commença à remonter sa main. La tête se releva sans que Duo n’ais besoin de toucher une parcelle de peau. Le gradé sembla reprendre vie en voyant le pilote.

 

- Je t’ai manqué ? Souffla l’envoûteur.

 

Le lieutenant ne répondit pas. Il se contenta de déshabiller du regard l’adolescent. Ce dernier détacha ses cheveux. Puis il se rapprocha de l’officier, et effleura sa joue avec sa main. Puis il lui lança un petit regard triste crèvecœur.

 

- Tu sais en ce moment je ne me sens pas très bien. J’ai eut quelques problèmes avec un ami. Tu ne m’en causeras pas toi hein ? Fit le charmeur l’air malheureux.

 

L’officier se dépêcha de faire non de la tête et un petit sourire pris naissance sur les lèvres du pilote. L’interrogatoire allait être facile, trop facile.

 

- Tu me dirais vos plans ? S’il te plait ?

 

Le lieutenant se mit à égrainer tout son savoir dans le dictaphone portable de Duo, sans se rendre compte apparemment, qu’il trahissait purement et simplement sa cause en se vendant à l’ennemi. Et comme tous les autres, quand à la fin il lui dira qu’il ne le reverrait plus, ce dernier se tuera.

 


Regardez-moi, hum, hum
Je suis le plus beau du quartier
J'suis l'préféré
Mes belles victimes
Voudraient se pendre à mes lacets
Ca les abîme
Les bons messieurs, eux
Voudraient tellement m'déshabiller
Ca les obstine
Bien malgré moi, oui bien malgré moi
Je suis le plus beau du quartier, mais

 

Duo avait donné le petit appareil contenant toutes les informations divulguées par le pauvre lieutenant, et se dirigeait maintenant vers sa chambre pour se reposer un peu. A l’intérieur il découvrit Wufei. Avec lui, il s’était compliqué. Ce dernier niait toute intérêt pour l’envoûteur, ni désir, ni envie, mais cela en plein jour. Dès que la nuit tombait et que le pêcher humain dormait, Wufei ce mettait à devenir entreprenant et commençait à enlever les couvertures, tentait parfois d’enlever les vêtements ensuite. Comme il le faisait maintenant. Mais Duo se réveillait toujours et l’envoyait bouler contre un mur. Il ne pouvait accepter cette attitude. Il avait ses raisons d’être si violent. Mais qui pouvait le comprendre ?

Il sortit aussitôt sachant que Wufei ne s’arrêtera pas là, il partit dans la chambre de Trowa. Ce dernier l’accueillit à bras ouvert. Il était un peu comme Wufei à une différence près, il attendait le sommeil profond pour agir. Seulement Duo n’avait pas le choix, il ne devait pas donner l’impression de préférence ou une querelle interne risquait de se déclencher. Il s’endormit donc, un peu nerveux.

Comme il l’avait prévu, quand il se réveilla, sentant de mains sur son corps, Trowa se trouvait déjà au dessus de lui à le toucher fébrilement. Il essaya de s’échapper mais ce dernier lui emprisonna les poignets, manquant lui casser les os par la même occasion. Il continua à observer le fruit défendu allonger sous lui. Puis, il attacha les mains de la tentation incarnée et se remit à le caresser. Duo remercia le ciel que sa raison ne soit plus la même dans cette état. Il défit avec aisance les liens, renversa Trowa, enfila ses vêtements en vitesse et partit vers l’infirmerie pour ses os, les larmes aux yeux.

Là, il trouva Sally. Avec cette dernière il avait un avantage, il suffisait qu’il lui rappelle que c’était un médecin, et un majeur, et lui un mineur, et aussitôt ça la calmait. Il du la menacer trois fois se soir-là tandis qu’elle bandait ses poignets meurtris. Puis elle le laissa dormir dans l’infirmerie, non sans tenter sa chance en proposant de le veiller. Proposition que Duo refusa aussitôt. Quand elle partit, l’Américain se retrouva enfin seul avec ça conscience et ses pensées.

 

POV de Duo.

 

Ils ont recommencé. Tous ont essayé. Sauf Quatre. C’est le seul qui sache se retenir. Je crois…Que je vais arrêter de m’inquiéter des querelles internes et…Dormir avec lui chaque soir. Au moins je serais tranquille. Il ne me saute pas dessus, ne tente pas de me violer. Et si je dois lui donner un peu plus, cela ne me dérange pas. Je crois…Que c’est grâce à son empathie que je peux être rassuré avec lui. Si je me mets à paniquer, il le ressentira et cela devrait lui faire l’effet d’une douche froide. Oui…C’est avec Quatre que j’ai encore le plus de chance de ne pas avoir de problème.

Je sais que je ne devrais pas me plaindre. J’envoûte tout le monde, je charme sans effort, alors de quoi plaindrais-je ? Peut-être de cette non sécurité que cela amène. Seul Quatre résiste. Je pense…Que je vais lui proposer…Que l’on se mette ensemble…Je devrais mettre tout de suite d’autre limite, je sais…Mais je sens qu’avec lui j’aurais des chances…D’avoir une relation « normale » avec quelqu’un…Je vais essayer. Si je ne dois pas subir d’autre attaque cette nuit…


Mais prenez garde à ma beauté
A mon exquise ambiguïté
Je suis le roi
Du désirable
Et je suis l'indéshabillable
Observez-moi, hum, hum, hum
Observez-moi de haut en bas
Vous n'en verrez pas deux comme ça
J'suis l'favori
Le p'tit chéri
De toutes ces dames
Et d'leurs maris
Aussi, oui

 

Finalement ça n’était pas une bonne idée. Ça fait seulement une semaine que je suis avec Quatre et ce dernier respecte les limites. On ne fait rien si je ne veux pas, il a interdiction de trop en faire devant les autres, autrement dit pas d’embrassade. Si je peux évité les querelles je le ferais. Mais avec lui…Parfois j’ai l’impression que je n’aurais même pas besoin d’en mettre qu’il le ferait de lui même. Mais je préfère prévoir. Seulement, cela a attiré la jalousie des autres.

Trowa est devenu violent comme jamais, et Wufei ne cesse de venir la nuit dans ma chambre quand Quatre n’est pas là. Quant à Heero…Il est bien beau maintenant le fier soldat. Il se nourris à peine, rate presque toutes ses missions, et est incapable de crée un virus correctement. Dès qu’on se rencontre, il me lance un regard de chiot battu abandonné. J’avoue que j’ai du mal à résister. Il a l’air tellement triste. Tellement que j’ai l’impression que ça n’était pas purement physique. Je ne sais plus trop quoi faire.

Aujourd’hui, il a fallut envoyer Trowa dans un centre psychiatrique. Il a pointé son flingue sur les mads en menaçant de les tuer si je n’acceptais pas d’être avec lui. Heureusement, il a pu être arrêté à temps. Maintenant il doit être dans une cellule capitonné et surmédicaliser.

Wufei, c’est hier qu’il a craqué. Il a fait une véritable crise de nerf. Pendant un repas, il s’est mis à hurler puis à pleurer, à recommencer à hurler, a détruit plusieurs tables, à pleurer pour finalement se faire assommé par un sweeper. Je me passerais de vous répétez ses propos. Tout ce que je peux vous dire c’est qu’il ressemblait au pire des maris jaloux et que c’était moi le conjoint de l’histoire. Il est à l’hôpital pour une cure de repos forcé.

Et maintenant Heero risque de le rejoindre pour anémie. On ne peut se permettre de perdre un pilote de plus. Je vais demander à Quatre. Je ne suis pas un monstre malgré tout. Et j’ai envie d’essayer avec Heero.

 

- Quatre ?

- Oui ?

- Tu as vue dans qu’elle état est Heero ?

- Oui j’ai vu.

- Est-ce que…Tu sais ce qu’il a ? Enfin, je sais ce qu’il a, mais avec ton empathie…Je veux dire…

- Il est accro à toi. Et pas seulement physiquement.

- Oh. Heu…Tu sais que…Tro et Wu sont plus là et …

- On ne peux pas perdre Heero je sais. Je suis très libre Duo, si tu veux qu’on soit trois, on le sera.

- Merci.

 

Je suis quand même honteux de lui demander ça. Heureusement son sourire me rassure. Je l’embrasse pour le remercier. C’est vraiment un ange.

Je trouve Heero dans sa chambre. Il est allongé sur son lit le regard dans le vide. Je m’assoie à l’un des bords et le regarde. Il m’a aperçu et son regard est fixé sur moi.

 

- Heero…Il faut que tu te reprennes.

- …

- Si tu es d’accords…Je veux bien qu’on essaye tous les trois, moi, Quatre et toi. Je sais que ça n’est pas cela que tu veux mais…

 

Heero pose un doigt sur mes lèvres et met sa tête sur mes genoux. Je prends ça pour un oui. Je lui caresse lentement les cheveux en soupirant, un sourire au lèvre. Je me sens étonnement bien après ce choix. Avec eux deux, je pense que je vais me sentir en sécurité. Je sais déjà qu’ils vont faire les jaloux compulsifs mais…Ça me rassure. Pendant un moment je n’aurais plus à m’inquiéter de savoir si quelqu’un tentera quelque chose. Je n’aurais pas à m’inquiéter de savoir si on va me violer un soir quand je serais seul.

Ma tête a rejoint celle de Heero et nous sommes maintenant joue contre joue. Quelqu’un d’autre est arrivé. C’est Quatre. Il nous prend tout deux dans ses bras. Il y a peut-être un espoir. Un espoir pour moi de ne plus avoir à m’inquiéter ni à poser des limites à tout bout de champs. Ça serait bien…

 

 

Fin

 

 

Chtite : t’y va fort quand tu veux toi OO

Shinny : Kei t’inspirais trop è_é j’en ai essayé d’autre amis y a que celle-la que t’as capté è________é

Chtite : ^^0

Kei : ;p

Shinny : pis d’abord t’avais qu’a écouté les autre si t pas contente * vexé a mort*

Chtite : *caline le chaton* m’en veux toujours ? ^^

Shinny : mraouuuuuh du tooooooouuuut ^^ roooooooonnnnn

Chtite : review please ^^0